Rencontre avec Adrien Binon de Rising Sparks

L’équipe d’(in)significant Magazine a rencontré Adrien Binon, le chanteur de Rising Sparks. C’est sur un coin d’herbe lors d’une journée ensoleillée que nous en avons appris un peu plus sur son groupe et sa musique. Interview. Le groupe s’est produit notamment lee week-end passé sur la scène de « La Récré des Décibels », un festival pop/rock à Frasnes-Lez-Gosselies. Rising Sparks, un groupe issu du Brabant-Wallon et que la Team a à cœur de vous faire découvrir. - Comment le groupe s’est-il formé ? Comment vous êtes-vous rencontrés ? Le groupe s’est créé en octobre 2011. Je chantais à un concert de charité et j’ai invité une amie et son copain, Amandine et Manu. Ils m’ont entendu chanter. J’étais avec un pote guitariste. Et Manu m’a proposé de mettre un peu de percussion sur ce que je faisais. Parce qu’il aimait beaucoup. Je lui ai dit que ce qui m’intéressait ce n’était pas de faire des covers mais mes propres chansons. Le guitariste avec qui j’étais à ce moment-là n’était pas fort chaud. Donc avec Manu on a décidé de créer un groupe. C’est là que ça a commencé. On a posté des annonces sur Internet et on a rencontré Mika, le guitariste et ensuite on a rencontré Kim, le bassiste. Et, en fait depuis, la formation Rising Sparks a beaucoup évolué. On se retrouve aujourd’hui avec des nouveaux membres. Il y a un nouveau guitariste qui s’appelle Ulrich qu’on a rencontré cette année. Et pour assurer les gros lives on a des musiciens complémentaires (un pianiste et un bassiste). Mais dans l’équipe de « base » on est cinq. - Pourquoi avoir choisi ce nom pour le groupe ? À chaque fois je réponds pour blaguer que je voulais un nom difficile à prononcer comme ça les gens étaient embarrassés pour le dire (rires). Mais plus sérieusement, trouver un nom de groupe c’est super chaud. Est-ce que les gens vont aimer, est-ce que c’est trop gnangnan ? J’ai rêvé du mot Rising, je ne sais pas pourquoi. Je voulais utiliser ce nom-là et puis j’ai pensé à « Rising Sparks » et en fait ça nous faisait penser à… C’est un peu cheesy ce que je vais dire là mais on adore faire des barbecues entre potes, on s’allume un feu et parfois on sort la guitare et on jam autour du feu. Et ça me faisait penser aux flammes, aux étincelles montantes. Et je trouvais que si je me replongeais dans cette ambiance, le nom collait bien à notre musique. - Vous avez récemment fait la première partie de Puggy. Comment en êtes-vous arrivé là ? En fait, il y a le facteur chance mais ça se joue beaucoup aussi avec les rencontres. C’est un point important dans le milieu de la musique. Tout fonctionne en réseau. Et si tu ne mets pas un pied dedans et que tu ne joues pas le jeu, tu n’arrives pas accéder à certaines portes. Il faut essayer de rencontrer un maximum de monde, faire de la bonne musique (sourire), il faut que ça plaise. Et aussi, il y a les gens qui vont nous soutenir. Pour Puggy on a eu le soutien de l’Eden, de l’Envol des Cités (Tremplin de la région de Charleroi), et d’autres associations qui ont, ensemble, un comité de sélection pour les premières parties. Il faut savoir qu’une fois qu’ils ont le groupe, il doit encore être accepté par le manager de Puggy. On a postulé en octobre alors que le spectacle avait lieu en avril… Et on a eu la réponse une semaine avant (rires). Cette expérience nous a apporté une belle infrastructure pour se roder et aussi une notoriété. Parce qu’on remarque maintenant que si on a fait la première partie de Puggy, les gens ont plus confiance en nous pour nous booker. Cela apporte beaucoup de crédibilité. - Un petit mot à ajouter ? On va pas mal jouer cet été pour quelques festivals et les Fêtes de la Musique aussi ! On va enchainer quatre concerts sur 2 jours. Donc ça va être chouette ! Il y aura le Wacolor ou le Rock System à la Ferme du Biéreau aussi. N’hésitez pas à suivre leurs aventures sur les réseaux sociaux sur Facebook et Twitter (@Rising_Sparks).
Choisir sa raquette de padel débutant
Accessoires pour embellir vos événements

Plan du site